Chercheur·e·s dijonnais·e·s participant au speed-searching de la Nuit 2020

  • Kaat Philippe, doctorante en Psychologie au Centre des Sciences du Goût et de l’Alimentation, à Dijon.

Kaat étudie les liens entre les comportements alimentaires des jeunes enfants et les pratiques éducatives des parents en matière d’alimentation. Elle a notamment réalisé une étude sur l’alimentation des jeunes enfants pendant le confinement du printemps dernier.

  • Clémentine Durand-Bessart, doctorante en Ecologie au laboratoire Biogéosciences, à l’université de Bourgogne

Clémentine cherche à découvrir quels animaux mangent quels fruits dans les forêts tropicales africaines. Pour cela, elle a compilé beaucoup d’études scientifiques déjà existantes et elle est partie au Gabon interroger les populations qui vivent sur place.

  • Lucile Girard, jeune chercheuse en Sociologie au Centre Georges Chevrier de l’université de Bourgogne

Lucile étudie les parcours professionnels infirmiers, en réalisant des entretiens. Son but est de comprendre comment certaines personnes s’engagent dans la profession infirmière.

  • Morgane Dubied, doctorante en Paléontologie au laboratoire Biogéosciences, à l’université de Bourgogne

Morgane s’intéresse à la forme des crânes de rongeurs, pour découvrir si toutes les espèces de rongeurs ont la même forme de crâne à la naissance. Elle essaye aussi de comprendre la manière dont les rongeurs obtiennent leur crâne adulte.

  • Cécile Jacques, doctorante en Agroécologie à l’INRAe de Dijon

Cécile travaille dans une équipe spécialisée dans la culture du pois. Elle compare les stratégies que développe cette plante si elle manque d’eau au début ou à la fin de sa croissance.

  • Giulia Lelli, doctorante en Philosophie à l’université de Lyon et chargée d’enseignement à l’université de Bourgogne.

Giulia s’intéresse à la manière dont les morts continuent d’exister dans nos mémoires et à travers les productions qu’ils ont laissé. Pour cela, elle réalise notamment des entretiens et analyse des journaux de deuil.

  • Karine Montabord, doctorante en Histoire de l’Art à l’université de Bourgogne

Karine cherche à déterminer le rôle accordé à la danse dans le mouvement intellectuel et artistique Dada, au début du XXème siècle. Elle étudie notamment comment la présence de danseur·euse·s et chorégraphes dans les cercles d’artistes a pu influencer la production artistique des dadaïstes.

  • Lenny Boquet, doctorant en Archéologie à l’université d’Amiens, basé à Dijon

A partir d’analyses d’os humains découverts sur des sites de fouilles archéologiques, Lenny compare l’état de santé des personnes qui ont vécu en ville ou à la campagne il y a 400 ans.

  • Théo Accogli, doctorant en Biologie-santé dans le laboratoire INSERM « Lipides – Nutrition – Cancer » à Dijon

Théo cherche à renforcer notre système immunitaire pour mieux détecter les cancers : en aidant certaines cellules à repérer les cellules cancéreuses cachées dans notre corps, cela pourrait en alerter d’autres pour détruire le cancer.

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