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Le temps d’une soirée, la grande halle de tennis de l’université se transforme en parc d’attraction de la découverte où plus de 70 chercheurs et chercheuses vous attendent dans des espaces immersifs, intimistes et surprenants pour partager leurs investigations et discuter avec vous !
A l’occasion de cette édition anniversaire, le public retrouvera les stands les plus marquants de ces 20 dernières années : le speed-searching de Mme Irma, le bivouac et ses chercheurs tout terrain, les soirées diapos de la salle Multiplex, les ateliers de discussion, ou encore l’espace Sciences du Sport pour faire parler ses muscles.
Il y en aura pour tous les goûts et tous les âges !
Vendredi 26 septembre 2025 de 18h à 23h
Halle de tennis de l’Université Bourgogne Europe, tout au bout du campus de Dijon – Tram T1 et Bus L5, arrêts « Université »
Entrée gratuite, à partir de 8 ans
Buvette et foodtrucks sur place
La soirée a été lancée en grande pompe par le président de l’université Vincent Thomas, accompagné de Laetitia Martinez, vice-présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté et de Denis Hameau, adjoint au maire de la ville de Dijon. Plus d’une soixantaine de chercheuses et de chercheurs de l’université ont ensuite accueilli et échangé avec le public dans 6 décors savamment conçus par le scénographe Jean-François Desmarchelier et son équipe.
Outre l’espace « Piste de danse » où les chercheurs du laboratoire ICB ont fait tourner plus d’une tête, l’espace de Speed-searching, animé par notre madame Loyale Elise Cellier-Holzem, a remporté un vif succès ! Petits et grands ont aussi eu l’occasion de multiplier les expériences autour de la performance dans l’espace « Piste de sport », enquêter sur bon nombre de sujets de recherche dans l’espace « En quête de piste », voyager avec nos chercheuses et chercheurs en transit à l’espace « Piste d’atterrissage » ou encore débusquer des trésors avec nos pirates de l’espace « Piste au trésor »…
Découvrez l’intégralité du reportage-photo de cette soirée signé Vincent Arbelet.
En se promenant sur les berges de lacs du Jura, Emmanuelle, chercheuse au laboratoire Biogéosciences de l’université de Bourgogne, est tombée en pamoison devant le tapis blanchâtre qui leur donne parfois des allures de lagons polynésiens. Jusque-là on pensait que ce phénomène était dû à une lente réaction chimique et naturelle. Mais Emmanuelle avait une tout autre hypothèse. Pour notre géologue et microbiologiste, cette minéralisation était peut-être dû à l’action de… microbes. Si, dans un premier temps son hypothèse a fait « plouf », Emmanuelle a refait surface et trouvé une autre piste. Une découverte qui ne concernerait pas que le Jura, mais toute la planète…
Le saviez-vous ? Les bébés voient flous. En revanche leur odorat est très développé, c’est même grâce à leur nez qu’ils peuvent reconnaître leur entourage ! Arnaud, chercheur en psychologie et neuroscience au Centre des Sciences du Goût et de l’Alimentation s’intéresse à ces liens entre l’odorat, la vision et la mémoire chez le nourrisson. Il cherche à comprendre comment et jusqu’à quel âge, les bébés utilisent les odeurs pour mieux voir et reconnaître le monde qui les entoure…
Erik Dujardin est physicien et chimiste au laboratoire Interdisciplinaire Carnot de Bourgogne. Il cherche à inventer de nouveaux concepts de calculateurs moins gourmands en énergie et plus rapides que les composants électroniques actuels. Pour cela, il utilise la lumière (rouge) pour transmettre l’information à travers des plaquettes micrométriques d’or ultrafin. En fonction de leur forme, ces plaquettes réalisent des calculs complexes qui sont lisibles par une lumière (disons, verte) qu’elles émettent alors. La grande question qui se pose est : si je veux par exemple additionner deux nombres, quelle est la meilleure forme de plaquette ? Erik a quelques idées mais il fait aussi appel à l’Intelligence Artificielle pour tenter d’y répondre…
Crédit : Vincent Arbelet
Les discussions avec Clémentine ne manquent jamais de sel au sens propre comme au figuré. Cette chercheuse au laboratoire CIMEOS de l’université de Bourgogne s’intéresse à ce poids lourds de l’assaisonnement omniprésent dans nos assiettes et responsable de nombreuses maladies… Avec des équipes d’anthropologues, de chimistes, de communicants et des chercheurs en sciences de l’aliment, Clémentine s’est lancée dans une recherche à grande échelle pour étudier le sel sous toutes ses coutures, que ce soit la manière dont nous le cuisinons et le consommons au quotidien ou bien de la façon dont les pouvoirs publics, les industriels et les publicitaires s’en emparent pour sensibiliser (ou pas) les populations à ses ravages…
Frédéric, chercheur au laboratoire PAM (Procédé Alimentaire et Microbiologique) à AgroSup Dijon, travaille sur le développement de bio-emballage plus respectueux de l’environnement. Ces bio emballages, constitués notamment à partir de déchets de crevettes pourraient remplacer à terme les emballages plastiques. Encore faut-il qu’ils soient compatibles et préservent, voire renforcent, les arômes dans l’aliment au cours de la durée de conservation ! Vous pourrez retrouver Frédéric à l’espace « Piste d’atterrissage » de la Nuit des chercheurs, le 27 septembre prochain, car, entre deux avions, notre chercheur coordonne au niveau de l’université la stratégie Recherche de l’Alliance d’université européenne FORTHEM…
Crédit : Anna Solé
Morgan, chercheur en Histoire au laboratoire LIR3S, a sans aucun doute le rire le plus puissant et le plus communicatif de l’université de Bourgogne. Mais quand il se lance sur la piste d’une militante féministe bourguignonne du début du siècle dernier, Morgan ne rigole plus. Il épluche les archives, passe en revue les coupures de journaux et autres tracts syndicaux et découvre une femme exceptionnelle qui, semble-t-il, a bien (pré)occupé les forces de l’ordre de l’époque…
La 19ème édition de la Nuit des chercheurs de Dijon approche à grand pas ! On vous donne rendez-vous à la halle de tennis et à la salle Multiplex sur le campus de Dijon pour échanger avec plus d’une soixantaine de chercheuses et de chercheurs de l’université de Bourgogne le vendredi 27 septembre à partir de 18H ! Vous pouvez d’ores et déjà découvrir le programme de cette soirée où les pistes que décident de suivre (ou pas) nos scientifiques auront un rôle majeur à jouer…
Au menu : du speed-searching, des animations, des stands pour parler biologie, agroécologie, psychologie, nutrition-santé, géologie, histoire, physique, sciences du Sport et bien d’autres sujets encore ! Cerise sur le gâteau, les conférences seront animées par Antoine Gauthier de Sparse (souvenez-vous, Antoine avait fait une visite remarquée lors d’une précédente Nuit)…
Cliquez sur ce lien : Programme NEDC 2024 web et le programme apparaîtra ! C’est la magie de la Nuit !
L’entrée de la soirée est gratuite et s’adresse à un public de 8 ans à l’infini…
Un chercheur, ça cherche ! Il ou elle remue parfois ciel et terre pour… tomber sur un os, buter par manque de sources, voir ses expériences montrer l’inverse de ce qu’on prévoyait, mais, au final… apporter sa pierre : comprendre, découvrir, éclairer et agrandir le monde de la connaissance.
Une fois la découverte faite, les brouillons, les traces, les belles pistes et fausses pistes sont bien souvent effacées et sont peu racontées au grand public.
Le 27 septembre prochain, sur le campus de l’université de Bourgogne, la Nuit des Chercheurs vous ouvre les inventives et tumultueuses coulisses de la Science. Au sein d’espaces scénographiés et poétiques, une soixantaine de chercheuses et de chercheurs vous feront part de leurs pérégrinations en vous associant, de façon ludique, à l’esprit de la découverte.
En pistes !
Nuit des chercheurs Dijon – Vendredi 27 septembre 2024 – A partir de 18h – Campus Universitaire de Dijon (Halle de tennis de l’UFR STAPS et salle Multiplex, Tram T1, bus L5 arrêts « Université »), dès 8 ans, entrée gratuite, buvette et restauration sur place.
Plus de 1900 visiteurs et visiteuses se sont massé.e.s ce vendredi 29 septembre 2023 à la Halle de tennis et à la Salle Multiplex de l’université de Bourgogne pour rencontrer et échanger avec plus d’une centaine de chercheuses et de chercheurs autour de NOS FUTURS.
Photos : Vincent Arbelet
Décor : Jean-François Desmarchelier
Olivier Planchon, chercheur au laboratoire Biogéosciences de l’université de Bourgogne, était à la Nuit des chercheur.e.s pour parler de climat dans les films.
Si vous voulez découvrir ou redécouvrir le sujet de son intervention lors de notre soirée voici le lien d’un article co-écrit avec Benjamin Pohl, Pierre Pouzet et Brice Lallement dans la revue scientifique « Climatologie » intitulé : Le climat dans les films catastrophe, dystopiques et post-apocalyptiques.
Cette année, les chercheurs sortent leur boules de cristal et imaginent nos Futurs possibles. Croulera-t-on sous le poids d’une technologie devenue inévitable ou se retournera-t-on, au contraire, vers l’essentiel ? Quelle direction l’Humanité prendra-t-elle ? Quels choix l’être humain aura-t-il ? Comme chaque année, le public pourra retrouver des chercheur.e.s de toutes disciplines et de tous horizons (écologie, littérature, physique, patrimoine, santé…) pour réfléchir, contribuer, discuter, et s’instruire ensemble !
Le programme complet de la soirée dijonnaise ci-dessous :
Tous les 2 ans, une Grande Expérience Participative est organisée simultanément dans toutes les villes françaises participantes à la Nuit. L’occasion pour une équipe de recherche de faire participer près de 15 000 personnes à une expérience scientifique s’inscrivant dans le cadre de leurs travaux. C’est aussi une opportunité pour le grand public de découvrir les coulisses d’une expérience scientifique et de devenir acteur de la recherche en train de se faire. L’expérience proposée cette année s’intitule « 𝗟𝗮 𝗚𝗿𝗮𝗻𝗱𝗲 𝗦𝘆𝗻𝗰𝗵𝗿’𝗘𝗔𝗨 ». Son but : impliquer le plus grand nombre de volontaires dans la collecte massive de données sur la qualité de l’eau et de réfléchir aux enjeux environnementaux liés à celle-ci
Échangez en ligne et en direct avec des chercheurs de toute la France ! Il s’agit d’un format intimiste, avec un nombre de places limité. Pour être sûr de pouvoir participer, nous vous proposons de vous inscrire sur un, ou plusieurs, créneaux horaires. Durant ce ou ces créneaux, vous rencontrerez successivement trois chercheurs. C’est la surprise permanente ! Vous ne pourrez pas choisir quel chercheur vous aurez face à vous.