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Les chercheur.e.s ayant participé aux différentes éditions depuis 2014
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Une soixantaine de chercheuses et chercheurs participent à la Nuit 2022. Voici quelques lignes sur quelques uns…
Marion Foucher
Pandémie, guerre, changement climatique : non, Marion ne vous parle pas de 2022 mais de la fin du Moyen-Âge et de la façon dont la ville de Nevers, ses habitants et les autorités ont dû s’adapter aux catastrophes naturelles, forcément imprévisibles…
Marion est chercheuse en archéologie au laboratoire ArTéHis.
Thomas Thévenin Comment vous déplacez-vous habituellement dans Dijon ? A pied, à vélo, en transport en commun, en véhicule électrique ou thermique ? Venez échanger avec Thomas et son équipe devant une maquette de Dijon qui simule l’impact des mobilités quotidiennes sur la pollution dans la ville. Une façon de prédire l’évolution de notre ville…
Thomas est professeur en géographie au laboratoire ThéMA
Sophie Nicklaus
Enfant vous n’aimiez pas les épinards, les choux de Bruxelles ou la panse de brebis farcie au grand dam de vos parents qui se demandaient pourquoi ces mets fins et délicats ne trouvaient pas grâce à vos yeux ? Sophie a quelques réponses à fournir… Elle étudie de près le comportement alimentaire des enfants et évalue l’effet des propriétés des aliments. Sophie nous dévoilera à quel point ceci peut ou non prédire le développement et l’évolution des préférences et des consommations alimentaires…
Sophie est directrice de recherche au Centre des Sciences du Goût et de l’Alimentation
Pierre Ancet
La recherche sur le handicap peut conduire à inverser son point de vue sur la différence : on peut se rendre compte que des personnes en état de dépendance physique quasi complète peuvent disposer d’autonomie (car l’autonomie est loin d’être seulement physique) ou de capacités sous-estimées, parfois plus développées que chez d’autres humains. Ainsi, le chercheur en sciences humaines peut faire d’imprévisibles découvertes sur l’humanité en général et sur chacun en particulier.
Pierre est professeur de philosophie au laboratoire LIR3S.
Thierry Tran
À Dijon, on travaille souvent sur le vin mais c’est à une autre boisson fermentée que Thierry Tran, jeune chercheur, s’intéresse : la kombucha. Cette limonade naturelle est obtenue par transformation d’une infusion de thé sucrée par une communauté de microorganismes. Mais, le comportement de cette communauté peut être imprévisible et diminuer la qualité du produit. Thierry cherche à mieux comprendre les interactions entre microorganismes. À la Nuit des chercheurs, grâce à un dispositif digne de nos plus touchantes Kermesses d’autrefois, Thierry montrera comment on peut jouer les cupidons et organiser des mariages entre microorganismes… Tournez méninges !
Thierry est jeune docteur au laboratoire PAM de Dijon
Christian Bonatti et Michele Triestino
Christian et Michele sont mathématiciens. Leurs objets d’étude sont abstraits. Cependant – et c’est le pouvoir de notre espace Kermesse ! – ils vont présenter des jeux et des dispositifs « faits maison » qui permettent de ressentir les idées mathématiques qu’ils côtoient quotidiennement. On pourra être surpris par le pouvoir prédictif d’un théorème* ou bien se rendre compte que le hasard… même si c’est très complexe, même si ça part dans tous les sens : ça peut être très bien prédit ! Oui, comme le dit Christian : « Quand c’est du bon hasard, c’est très prédictible ».
Christian Bonatti est directeur de recherche à l’Institut Mathématique de Bourgogne (uB et CNRS)
Michele Triestino est maître de conférence au même institut.
* : Faisant jouer à un jeu de déplacement dans un labyrinthe, Michele racontera qu’un théorème indique qu’au bout d’un moment, on repassera forcément par la case départ, même si le labyrinthe est infiniment grand !
Anna Kiseleva, Arnaud Leleu et Diane Rekow
Sous une tente mystère, vous participerez à leur expérience… Mystère ! Il nous est interdit de « divulgâcher », mais en attendant si vous voulez ressentir (indice) plus de choses sur leurs investigations, jetez un coup d’œil (autre indice) à leurs études : fiche sur Anna, fiche du Diane…
Anna, Arnaud et Diane sont chercheuses et chercheur au sein de l’équipe Cognition et communication olfactives en développement du Centre des Sciences du Goût et de l’Alimentation de Dijon (autre indice !)
Dans le cadre d’un partenariat, la chaine Curieux.live donne la parole à des chercheuses et des chercheurs des universités organisatrices de la Nuit européenne des chercheurs. Chacune et chacun était invité.e à raconter un imprévu dans ses recherches ou sa vie de chercheur ou de chercheuse…
Kamal Hammani, enseignant-chercheur au Laboratoire Interdisciplinaire Carnot de Bourgogne (ICB) nous raconte le jour où il arrive dans un labo pour son nouveau job…
Daniel Wipf, professeur de Biologie et Physiologie Végétale à l’université de Bourgogne, dirige un groupe de recherche qui s’intéresse à l’étude des mycorhizes à arbuscules au sein de l’UMR Agroécologie (INRAe, Institut AgrosSup) de Dijon. Pour Curieux.Live et la Nuit des chercheurs – consacrée cette année à l’imprévu dans la recherche – il nous raconte une trouvaille peu banale…
Pour la Nuit Européenne des Chercheur·e·s 2021, plus de 60 chercheur·e·s posent leurs valises à la halle de tennis de l’UFR STAPS. Dans ce lieu, six dispositifs vous attendent pour l’embarquement : « la valise du chercheur », le «speed searching », « le bivouac », « le rendez-vous des voyageurs », « la soirée diapos » et le terrain des « sciences du sport ». Pour cette édition 2021, nos chercheur·e·s dijonnais se préparent depuis cet été à vous faire voyager.
Thomas avait déjà participé au rendez-vous chercheur. Un beau moment à retrouver sur la chaîne YouTube de l’Experimentarium.
Retrouvez Thomas, Célia, Emmanuelle, Arnaud, Diane et tous les autres chercheur·e·s le vendredi 24 septembre !
En attendant la nuit 2021, retrouvez le carnet de voyage d’Alix, étudiant en conservation de la biodiversité et stagiaire en communication des sciences.
Alix vous emmène en voyage à travers le monde. Vous rencontrerez des chercheur·e·s de l’université de Bourgogne dans leurs expéditions scientifiques.
Bon voyage !
Retrouvez grâce à ce webdocumentaire tout l’esprit de la Nuit des chercheur·e·s. Baladez-vous dans les dispositifs de la nuit (la fabrique des secrets, le secret derrière la porte ou la gare des secrets) à la rencontre de 12 chercheur·e·s !
Cliquez sur la photo pour retrouver le webdocumentaire !
Julien Garry est jeune chercheur en histoire contemporaine au laboratoire Georges Chevrier. Il étudie l’histoire des façons de combattre au corps à corps dans l’armée Française, aux XIXe et XXe s. Il essaye de découvrir quelles techniques d’escrime étaient utilisées pour combattre, avec des armes blanches.
Capsule extraite du webdocumentaire de la Nuit des Chercheurs à Dijon 2020.
Emmanuelle étudie des roches sédimentaires capables de piéger de l’arsenic.
(Vidéo réalisée pour le webdocumentaire de notre Nuit des Chercheur·e·s).
Ses travaux portent sur des bio-emballages, fabriqués – par exemple – avec des “déchets” de crevettes…
Pierre est allé étudier le monde du travail dans les campagnes ukrainiennes.
Elle réalise une étude sur l’impact psychologique de la crise sanitaire actuelle sur les professionnels de réanimation en France.
Elle étudie des neurones du cerveau qui détectent le sucre dans notre corps et leur lien avec le développement précoce du diabète.
Spécialiste des mycorhizes, il vient de réaliser une enquête sur la truffe de Bourgogne…
Spécialisé dans l’histoire et la sociologie de la vigne et du vin, il va chambouler nos croyances en fin d’émission !
Kaat étudie les liens entre les comportements alimentaires des jeunes enfants et les pratiques éducatives des parents en matière d’alimentation. Elle a notamment réalisé une étude sur l’alimentation des jeunes enfants pendant le confinement du printemps dernier.
Clémentine cherche à découvrir quels animaux mangent quels fruits dans les forêts tropicales africaines. Pour cela, elle a compilé beaucoup d’études scientifiques déjà existantes et elle est partie au Gabon interroger les populations qui vivent sur place.
Lucile étudie les parcours professionnels infirmiers, en réalisant des entretiens. Son but est de comprendre comment certaines personnes s’engagent dans la profession infirmière.
Morgane s’intéresse à la forme des crânes de rongeurs, pour découvrir si toutes les espèces de rongeurs ont la même forme de crâne à la naissance. Elle essaye aussi de comprendre la manière dont les rongeurs obtiennent leur crâne adulte.
Cécile travaille dans une équipe spécialisée dans la culture du pois. Elle compare les stratégies que développe cette plante si elle manque d’eau au début ou à la fin de sa croissance.
Giulia s’intéresse à la manière dont les morts continuent d’exister dans nos mémoires et à travers les productions qu’ils ont laissé. Pour cela, elle réalise notamment des entretiens et analyse des journaux de deuil.
Karine cherche à déterminer le rôle accordé à la danse dans le mouvement intellectuel et artistique Dada, au début du XXème siècle. Elle étudie notamment comment la présence de danseur·euse·s et chorégraphes dans les cercles d’artistes a pu influencer la production artistique des dadaïstes.
A partir d’analyses d’os humains découverts sur des sites de fouilles archéologiques, Lenny compare l’état de santé des personnes qui ont vécu en ville ou à la campagne il y a 400 ans.
Théo cherche à renforcer notre système immunitaire pour mieux détecter les cancers : en aidant certaines cellules à repérer les cellules cancéreuses cachées dans notre corps, cela pourrait en alerter d’autres pour détruire le cancer.