2023

La Nuit 2023 en images !

Plus de 1900 visiteurs et visiteuses se sont massé.e.s ce vendredi 29 septembre 2023 à la Halle de tennis et à la Salle Multiplex de l’université de Bourgogne pour rencontrer et échanger avec plus d’une centaine de chercheuses et de chercheurs autour de NOS FUTURS.

Photos : Vincent Arbelet

Décor : Jean-François Desmarchelier

Ciné-conf, climat : quand la réalité dépasse la fiction

 

Olivier Planchon, chercheur au laboratoire Biogéosciences de l’université de Bourgogne, était à la Nuit des chercheur.e.s pour parler de climat dans les films.

Si vous voulez découvrir ou redécouvrir le sujet de son intervention lors de notre soirée voici le lien d’un article co-écrit avec Benjamin Pohl, Pierre Pouzet et Brice Lallement dans la revue scientifique « Climatologie » intitulé : Le climat dans les films catastrophe, dystopiques et post-apocalyptiques.

Visites de labo

La Nuit européenne des chercheur.e.s aura lieu à Dijon le vendredi 29 septembre 2023 à partir de 18h. En plus des espaces scénographiés où une centaine de chercheuses et de chercheurs de l’université de Bourgogne accueillera et échangera avec le public, celui-ci pourra visiter des lieux de recherche sur la performance sportive et sur les mouvements.

3 visites sont prévues simultanément dans 3 labos, les inscriptions sont obligatoires et ont lieu dans la Halle de tennis tout au long de la soirée. Durée des visites : 45 minutes

Nous vous proposons de réserver le premier créneau horaire (18h) des visites de labos ! Sur place, les inscriptions seront possibles pour les visites suivantes, qui auront lieu jusqu’à 22h.

Vous pouvez vous inscrire à une seule de ces visites (à moins que ne puissiez vous dédoubler ?)

Visite 1 > Liens cerveau/muscles pour une meilleure rééducation

Visite 2 > Capture du mouvement : prévenir les chutes

Visite 3 > Comment améliorer les performances sportives ?

Vous pouvez réserver une des visites en cliquant sur ce lien.

Retrouvez-les durant la soirée du 29 septembre 2023 !

La Nuit européenne des chercheurs à Dijon rassemble une centaine de chercheuses et de chercheurs de l’université de Bourgogne de toutes disciplines confondues.

Clémentine Hugol-Gential, professeure en Sciences de l’Information et de la Communication au laboratoire CIMEOS. Elle travaille sur les questions de médiatisations alimentaires comme, par exemple, la publicité ou les influenceurs culinaires sur les réseaux sociaux. Les messages circulants portent des enjeux de santé. Clémentine s’attache particulièrement au sens que l’on donne à ce qu’on mange, à l’évolution des pratiques, ainsi qu’aux imaginaires liés à l’alimentation. Rien de tel que le cinéma pour réactiver ces imaginaires. Pop corn à la main, Clémentine partagera trois extraits de films populaires qui résonnent avec sa recherche.

Clémentine Hugol-Gential

 

 

 

 

 

 

 

François Jarrige, historien, il s’attache à comprendre les mouvements anti-progrès. Ces hommes et femmes, qui au cours de l’histoire, ont lutté contre une vision trop optimiste des effets du progrès scientifique et de la technologie. François présentera de vieux films qui révèlent à quel point la robotisation des tâches a posé des questions sur “nos futurs”, dans le monde du travail. Il est l’auteur de plusieurs livres dont La ronde des bêtes, le moteur animal et la fabrique de la modernité qui vient tout juste de paraître.

François Jarrige

 

 

 

 

 

 

 

Morgane Dubied, chercheuse en biologie évolutive au laboratoire Biogéosciences de l’université de Bourgogne. Elle étudie les formes des crânes de plusieurs espèces de rongeurs pour comprendre pourquoi ceux-ci se ressemblent quand ils naissent mais sont très différents à l’âge adulte. Cette question est fondamentale dans la théorie de l’évolution : comment se fait-il que des espèces très différentes peuvent être similaires aux premiers âges de la vie ? Pour mener son enquête, Morgane a exploré les collections des musées en quête de crânes de rongeurs bébés et adultes pour comparer leurs formes.

Morgane Dubied (Photo : V. Arbelet)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Frédéric Bernard professeur au sein de l’UFR Sciences et Techniques de l’université de Bourgogne. Avec d’autres chercheurs du Laboratoire Interdisciplinaire Carnot de Bourgogne (ICB), il développe des techniques pour fabriquer de nouveaux matériaux compactés. Cela permettrait notamment de valoriser les déchets d’usine, en récupérant les copeaux de matière non utilisés. Une Start-up utilise ensuite les technologies développées pour produire ces objets.

Frédéric Bernard

 

 

 

 

 

 

 

 

Florian Bahut, chercheur en chimie alimentaire à l’Institut Universitaire de la Vigne et du Vin (IUVV) de Dijon. Il étudie les alternatives naturelles aux sulfites qui permettraient de mieux conserver du vin.

Florian Bahut

Suivez-nous sur :