Il s’en est passé des choses pendant la Nuit Européenne des Chercheur·es 2020 !
Retour en image sur la Nuit 2020
Il s’en est passé des choses pendant la Nuit Européenne des Chercheur·es 2020 !
Il s’en est passé des choses pendant la Nuit Européenne des Chercheur·es 2020 !
Podcast de l’émission diffusée en direct vendredi 27 novembre 2020, de 20 h 30 à 22 h dans le cadre de la Nuit européenne des Chercheurs à Dijon. Dans cette émission, 7 chercheur·e·s dijonnais·e·s ont été interviewé·e·s sur le campus dijonnais, sur un plateau TV créé pour l’occasion.
Les invité·e·s étaient :
Pendant le direct, le public pouvait poser des questions aux chercheur·e·s via le tchat YouTube.
Cliquez sur la photo pour retrouver le replay de l’émission !
Une soirée animée par la Mission Culture Scientifique de l’université de Bourgogne, filmée par le service Pédagogie Numérique & Ressources de l’uB. Réalisation : ATAOUK.
Retrouvez grâce à ce webdocumentaire tout l’esprit de la Nuit des chercheur·e·s. Baladez-vous dans les dispositifs de la nuit (la fabrique des secrets, le secret derrière la porte ou la gare des secrets) à la rencontre de 12 chercheur·e·s !
Cliquez sur la photo pour retrouver le webdocumentaire !
La Nuit Européenne des chercheur·e·s se réinvente. Pour l’édition 2020, inscrivez-vous pour une rencontre avec des chercheur·e·s de toute la France, depuis chez vous, en toute sécurité, et sans masques !
Un petit groupe, un chercheur, un objet et 8 min pour discuter ! Au bout de 8 min, on change de chercheurs et on en découvre un autre, et une autre discipline. Petit détail : c’est la surprise permanente ! Vous ne pourrez choisir quel chercheur vous aurez face à vous.
Comment ça marche ? Il s’agit d’un format intimiste, avec un nombre de places limité. Ainsi, pour être sûr de pouvoir participer, nous vous proposons de vous inscrire dès à présent pour un ou plusieurs des créneaux horaires possibles : 18 h, 19 h, 20 h, 21 h et 22 h. Vous rencontrerez successivement trois chercheurs durant ce créneau.
Pour information, cet évènement virtuel aura lieu sur le logiciel Zoom. Vous n’êtes pas obligés de télécharger Zoom pour participer. Une fois inscrit·e·s, nous vous indiquerons comment vous connecter quelques jours avant l’évènement.
Julien Garry est jeune chercheur en histoire contemporaine au laboratoire Georges Chevrier. Il étudie l’histoire des façons de combattre au corps à corps dans l’armée Française, aux XIXe et XXe s. Il essaye de découvrir quelles techniques d’escrime étaient utilisées pour combattre, avec des armes blanches.
Capsule extraite du webdocumentaire de la Nuit des Chercheurs à Dijon 2020.
La Nuit Européenne des Chercheur.es 2020 proposait trois activités (cf. programme) autour de notre thème « Petits secrets Nocturnes ».
En 2021, deux d’entre-elles sont encore en ligne ici:
La Nuit Européenne des Chercheur.e.s 2020 propose trois activités « on line » autour de notre thème « Petits secrets Nocturnes »:
Emmanuelle étudie des roches sédimentaires capables de piéger de l’arsenic.
(Vidéo réalisée pour le webdocumentaire de notre Nuit des Chercheur·e·s).
Ses travaux portent sur des bio-emballages, fabriqués – par exemple – avec des “déchets” de crevettes…
Pierre est allé étudier le monde du travail dans les campagnes ukrainiennes.
Elle réalise une étude sur l’impact psychologique de la crise sanitaire actuelle sur les professionnels de réanimation en France.
Elle étudie des neurones du cerveau qui détectent le sucre dans notre corps et leur lien avec le développement précoce du diabète.
Spécialiste des mycorhizes, il vient de réaliser une enquête sur la truffe de Bourgogne…
Spécialisé dans l’histoire et la sociologie de la vigne et du vin, il va chambouler nos croyances en fin d’émission !
Visionnez le teaser de la nuit des chercheur.e.s
Réalisation et images : J-F Desmarchelier (Ataouk) et Éric Paul (Pédagogie Numérique et Ressources uB)
Kaat étudie les liens entre les comportements alimentaires des jeunes enfants et les pratiques éducatives des parents en matière d’alimentation. Elle a notamment réalisé une étude sur l’alimentation des jeunes enfants pendant le confinement du printemps dernier.
Clémentine cherche à découvrir quels animaux mangent quels fruits dans les forêts tropicales africaines. Pour cela, elle a compilé beaucoup d’études scientifiques déjà existantes et elle est partie au Gabon interroger les populations qui vivent sur place.
Lucile étudie les parcours professionnels infirmiers, en réalisant des entretiens. Son but est de comprendre comment certaines personnes s’engagent dans la profession infirmière.
Morgane s’intéresse à la forme des crânes de rongeurs, pour découvrir si toutes les espèces de rongeurs ont la même forme de crâne à la naissance. Elle essaye aussi de comprendre la manière dont les rongeurs obtiennent leur crâne adulte.
Cécile travaille dans une équipe spécialisée dans la culture du pois. Elle compare les stratégies que développe cette plante si elle manque d’eau au début ou à la fin de sa croissance.
Giulia s’intéresse à la manière dont les morts continuent d’exister dans nos mémoires et à travers les productions qu’ils ont laissé. Pour cela, elle réalise notamment des entretiens et analyse des journaux de deuil.
Karine cherche à déterminer le rôle accordé à la danse dans le mouvement intellectuel et artistique Dada, au début du XXème siècle. Elle étudie notamment comment la présence de danseur·euse·s et chorégraphes dans les cercles d’artistes a pu influencer la production artistique des dadaïstes.
A partir d’analyses d’os humains découverts sur des sites de fouilles archéologiques, Lenny compare l’état de santé des personnes qui ont vécu en ville ou à la campagne il y a 400 ans.
Théo cherche à renforcer notre système immunitaire pour mieux détecter les cancers : en aidant certaines cellules à repérer les cellules cancéreuses cachées dans notre corps, cela pourrait en alerter d’autres pour détruire le cancer.